Fixtures

Matchs internationaux 09/08 00:30 - Mexique vs Nouvelle-Zélande - View

Résultats

Matchs internationaux 03/26 20:00 - Nouvelle-Zélande v Tunisie L 2-4
Matchs internationaux 03/22 20:00 - Égypte v Nouvelle-Zélande L 1-0
Matchs internationaux 11/21 19:45 - Rep d'Irlande v Nouvelle-Zélande D 1-1
Matchs internationaux 11/17 17:00 - Grèce v Nouvelle-Zélande L 2-0
Matchs internationaux 10/17 18:45 - Australie v Nouvelle-Zélande L 2-0
Matchs internationaux 10/13 16:00 - Nouvelle-Zélande v DR Congo D 1-1
Matchs internationaux 06/19 16:00 - Qatar v Nouvelle-Zélande W PPT.
Matchs internationaux 06/16 17:00 - Suède v Nouvelle-Zélande L 4-1
Matchs internationaux 03/26 03:00 - Nouvelle-Zélande v Chine (RP) W 2-1
Matchs internationaux 03/23 06:00 - Nouvelle-Zélande v Chine (RP) D 0-0
Matchs internationaux 09/25 03:00 - Nouvelle-Zélande v Australie L 0-2
Matchs internationaux 09/22 10:00 - Australie v Nouvelle-Zélande L 1-0

Stats

 TotalHomeAway
Matches played 7 2 5
Wins 0 0 0
Draws 3 2 1
Losses 4 0 4
Goals for 3 1 2
Goals against 11 1 10
Clean sheets 1 1 0
Failed to score 4 1 3

L'équipe de Nouvelle-Zélande de football est constituée par une sélection des meilleurs joueurs néo-zélandais sous l'égide de la Fédération de Nouvelle-Zélande de football. Surnommée les « All Whites » (par opposition aux « All Blacks ») ou les « Kiwis », elle représente le pays lors des compétitions continentales et internationales.

L'équipe nationale dispute la première rencontre de son histoire le face à l'Australie, match remporté sur le score de trois buts à un. Affiliée à la FIFA en 1948, la Fédération néo-zélandaise est membre fondateur de la Confédération du football d'Océanie en 1966. La sélection néo-zélandaise dispute ses premières qualifications à une phase finale de Coupe du monde en 1970.

Elle remporte son premier trophée en Coupe d'Océanie en 1973 et compte quatre autres victoires dans cette compétition en 1998, 2002, 2008 et 2016. Elle compte également deux participations à une phase finale de la Coupe du monde, en 1982 et en 2010.

Meilleure nation de la Confédération du football d'Océanie depuis le départ de l'Australie vers la Confédération asiatique de football en 2006, la sélection a terminé l'année 2020 au 118e rang mondial du classement FIFA. Les Néo-Zélandais disputent leurs rencontres à domicile au Westpac Stadium, stade de 36 000 places situé à Wellington, ou au North Harbour Stadium d'Auckland, d'une capacité de 35 000 places. L'équipe est entraînée depuis par Danny Hay.

History

Les débuts de la Nouvelle-Zélande (1904-1969)

La Fédération de Nouvelle-Zélande de football est fondée en octobre 1891 pour gérer l'ensemble des rencontres se disputant dans la colonie britannique. L'équipe nationale dispute sa première rencontre le au Caledonian Ground de Dunedin, à l'occasion de la tournée de la sélection de Nouvelle-Galles du Sud en Nouvelle-Zélande. Les Néo-Zélandais s'inclinent sur le score d'un but à zéro devant environ 300 à 400 spectateurs, puis obtiennent un match nul trois buts partout la semaine suivante. Après une tournée néo-zélandaise en Nouvelle-Galles du Sud l'année suivante, les confrontations internationales s'interrompent jusqu'en 1922 et la venue, le , de l’Australie. Les Néo-Zélandais remportent cette première rencontre internationale, disputée sous la pluie au stade de Carisbrook à Dunedin devant 10 000 spectateurs, sur le score de trois buts à un. Deux autres rencontres sont disputées lors de cette tournée des Australiens et se concluent par un match nul et une autre victoire des Néo-Zélandais sur le score de trois buts à un. L'année suivante, en , les Néo-Zélandais se rendent en Australie pour une tournée de trois mois au cours de laquelle ils disputent seize rencontres, dont trois face à l'Australie. La sélection remporte « The Ashes », un trophée remis en jeu à chaque confrontation entre les deux nations jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, en s'imposant à deux reprises pour une défaite.

La sélection du Canada (ici en 1924) est la seconde équipe nationale rencontrée par les Néo-Zélandais, en 1927.

Après une tournée d'une sélection des universités chinoises en 1924, et l'échec de l'organisation de la venue de l'équipe d'Afrique du Sud en Nouvelle-Zélande en 1926, le Canada est la seconde nation affrontée par les Néo-Zélandais, en 1927. Les Néo-Zélandais remportent une des quatre rencontres organisées, pour un match nul et deux défaites. Il faut ensuite attendre 1933 pour de nouvelles rencontres internationales. La sélection se rend en Australie le pour disputer une tournée de treize dates dont trois rencontres face à l'équipe nationale hôte. Contrairement à 1923, les Néo-Zélandais, qui souffrent d'un manque de confiance et d'une préparation physique insuffisante, s'inclinent lors des trois matchs, quatre buts à deux le , six buts à quatre le , et de nouveau quatre buts à deux, le . L'année suivante, l'Australie se rend de nouveau en Nouvelle-Zélande et conserve « The Ashes » en s'imposant lors des trois rencontres organisées. Lors du deuxième match à Wellington, le , la Nouvelle-Zélande est battue sur le large score de dix buts à zéro. En 1937, l'équipe d'Angleterre amateur est la première équipe européenne à venir en Océanie ; elle dispute dix matchs en Nouvelle-Zélande dont trois face à la sélection. Facile victorieuse des trois rencontres, elle fait subir, lors du premier match le , la plus lourde défaite de l'histoire de la sélection néo-zélandaise, en s'imposant sur le score de douze buts à zéro.

Les confrontations internationales s'interrompent avec la Seconde Guerre mondiale et, ne reprennent qu'en 1947, avec la tournée de l'Afrique du Sud sur le sol néozélandais, qui se conclut sur quatre défaites des « Kiwis ». L'année suivante, la Fédération de Nouvelle-Zélande de football adhère à la FIFA. Après quatre nouvelles défaites face à l'Australie en 1948, la Nouvelle-Zélande réalise sa première tournée dans les îles de Mélanésie en 1951 où elle rencontre la Nouvelle-Calédonie, les Nouvelles-Hébrides et les Fidji. Le FK Austria Vienne est le premier club européen à affronter la Nouvelle-Zélande en 1957. Les « Kiwis » réalisent ensuite en mars et en une tournée en Asie, en Europe et aux États-Unis où ils affrontent des clubs et des sélections régionales. Après trois ans sans rencontre internationale, la Nouvelle-Zélande, membre fondateur de la Confédération du football d'Océanie en 1966, dispute en 1967 un match de prestige face à Manchester United, le champion d'Angleterre en titre. Les « Kiwis » s'inclinent lourdement sur le score de onze buts à zéro, leur plus large défaite depuis 1937.

Premières confrontations internationales et qualification en Coupe du monde (1969-1982)

La Nouvelle-Zélande s'inscrit pour la première fois à une compétition internationale lors des éliminatoires de la Coupe du monde 1970. Opposée dans le groupe 2 de la zone Asie-Océanie à Israël, la sélection dirigée par l'Anglais Barrie Truman s'incline sur le score de six buts à zéro sur les deux matchs. Pays organisateur de la première Coupe d'Océanie en 1973, la Nouvelle-Zélande remporte son premier trophée en s'imposant en finale face à Tahiti sur le score de deux buts à zéro. La sélection enchaîne avec les éliminatoires de la Coupe du monde 1974. Placée dans le sous-groupe D en compagnie de l’Australie, de l’Indonésie et de l’Irak, elle termine dernière de son groupe avec trois matchs nuls et trois défaites.

L'année suivante, la Nouvelle-Zélande réalise une tournée en Chine, puis dispute la Coupe du Président Park, un tournoi amical en Corée du Sud. En 1977, en tour préliminaire de la Coupe du monde 1978, elle bat à deux reprises six buts à zéro l'équipe de Taïwan, mais doit ensuite s'incliner devant son rival australien. L'entraîneur anglais John Adshead est nommé sélectionneur des « Kiwis » en 1979. Sous sa direction, l'équipe dispute la seconde édition de la Coupe d'Océanie en 1980, dont elle est éliminée dès le premier tour après des défaites face à Tahiti et les Fidji. En août, lors d'un match amical face au Mexique, John Adshead fait débuter Ricki Herbert, Keith Mackay, Grant Turner, Steve Wooddin et John Hill et l'équipe réalise une des performances majeures de son histoire en s'imposant sur le score de quatre buts à zéro.

Wynton Rufer, ici en 2009, inscrit quatre buts lors des qualifications de la Coupe du monde en 1982.

La Nouvelle-Zélande débute les éliminatoires de la Coupe du monde 1982 lors de la Journée de l'ANZAC en accueillant l'Australie, le favori du groupe. Les deux équipes se séparent sur un match nul trois buts partout. La Nouvelle-Zélande enchaîne ensuite sur un nul face à Taïwan puis deux victoires sur l'Indonésie et les Fidji. Lors des matchs retour du groupe, les « Kiwis » créent la surprise en s'imposant sur le terrain des Australiens, invaincus sur leur sol en match officiel depuis trente-cinq matchs, sur le score de deux buts à zéro. Les Néo-Zélandais l'emportent ensuite lors des trois derniers matchs, en battant notamment les Fidji sur le score de treize buts à zéro, dont six buts du capitaine Steve Sumner. Cette victoire est la plus large de l'histoire de la sélection mais également des matchs officiels de la Coupe du monde, devant la victoire douze buts à zéro des Allemands de l'Ouest face à Chypre en 1969. Surnommés les « All Whites » par les médias en référence à leurs maillots, les Néo-Zélandais terminent ce tour de qualification avec trente-et-un buts inscrits pour seulement trois encaissés. Lors du deuxième tour de qualification, la sélection est versée dans un nouveau groupe de qualification. Elle obtient un match nul zéro partout en Chine, puis s'impose à domicile face à la même équipe. C'est le neuvième match d'éliminatoires d'affilée sans que le gardien Richard Wilson n'encaisse de but, ce qui constitue un record pour la Coupe du monde. Après leurs rencontres face au Koweït et à l'Arabie Saoudite, les Néo-Zélandais se retrouvent lors de la dernière journée à deux points des Chinois avec une différence de but défavorable de cinq buts. Face à des Saoudiens démobilisés, ils s'imposent sur le score de cinq buts à zéro, dont deux du seul professionnel de la sélection, Wynton Rufer. Ils obtiennent ainsi le droit de disputer un match de barrage sur terrain neutre face aux Chinois. À Singapour, devant 60 000 spectateurs, les « Kiwis » dominent la rencontre et se qualifient pour la Coupe du monde en l'emportant sur le score de deux buts à un.

Pour la première phase finale de leur histoire, les Néo-Zélandais héritent d'un groupe difficile. S'ils font douter un temps les Écossais, en revenant à trois buts à deux lors du premier match, grâce à Sumner et Wooddin, ils s'inclinent finalement cinq buts à deux. Lors de leur deuxième rencontre, les « All Whites » ne parviennent pas à faire douter les Soviétiques et s'inclinent sur le score de trois buts à zéro. Enfin, pour leur dernier match de poule, ils connaissent une lourde défaite, quatre buts à zéro, face au Brésil.

Échecs mondiaux, succès continentaux (1983-2008)

L'attaquant israélien Ronny Rosenthal lors de la rencontre Israël-Nouvelle-Zélande du 5 mars 1989.

L'exploit de cette première qualification à une phase finale de la Coupe du monde n'est pas confirmé lors des éliminatoires suivants. Lors des éliminatoires de la Coupe du monde 1986, l’équipe de Nouvelle-Zélande termine troisième de son groupe, derrière l’Australie et Israël, tout comme en 1990. Éliminés lors du tour final des éliminatoires de la Coupe du monde 1994 par l’Australie, quatre buts à zéro sur les deux matchs, les « All Whites » sont ensuite battus en demi-finale de la Coupe d’Océanie 1996, puis aux éliminatoires de la Coupe du monde 1998, par le même adversaire.

Le défenseur Ryan Nelsen, ici en 2004, inscrit le but de la victoire face aux Australiens en finale de la Coupe d'Océanie 2002.

L'année suivante, les « Kiwis », dirigés par l'Anglais Ken Dugdale, remportent le second trophée de leur histoire lors de la Coupe d’Océanie. Premiers du groupe A, les Néo-Zélandais battent en demi-finale les îles Fidji, un but à zéro, puis battent enfin en finale l’Australie sur le même score, grâce à une réalisation de Mark Burton. La sélection se qualifie ainsi pour la Coupe des confédérations 1999 où elle termine dernière de son groupe après trois défaites face aux États-Unis, à l'Allemagne et au Brésil. Manquant d'expérience internationale, elle n'inscrit qu'un seul but par l'intermédiaire de son capitaine Chris Zoricich pour six encaissés. Lors de la Coupe d’Océanie 2000, l’équipe de Nouvelle-Zélande atteint de nouveau la finale en s'imposant en demi-finale face aux Îles Salomon sur le score de deux buts à zéro, avec un doublé de Simon Elliott. En finale, face aux Australiens, elle ne parvient pas à conserver son titre et s'incline deux buts à zéro. La sélection enchaîne avec les éliminatoires de la Coupe du monde 2002. Première du groupe 2 avec notamment une victoire sept buts à zéro sur le Vanuatu, elle est battue lors du tour final par les Australiens, sur le score de six buts à un sur les deux rencontres.

Ken Dugdale démissionne alors et laisse la place de sélectionneur à son adjoint Mick Waitt. Pays organisateur de la Coupe d’Océanie 2002, la Nouvelle-Zélande termine première de son groupe puis bat en demi-finale le Vanuatu sur le score de trois buts à zéro. En finale, elle prend sa revanche sur les Australiens en s'imposant sur le score d'un but à zéro grâce à Ryan Nelsen à la 78e minute. À la suite de ce succès, elle atteint en la 47e place du classement FIFA, soit la meilleure position de son histoire. Qualifiés pour la Coupe des confédérations 2003 grâce à ce succès, les All Whites finissent la compétition avec trois défaites face au Japon, à la Colombie et à la France. La sélection encaisse en tout onze buts pour un seul inscrit par l'intermédiaire de Raffaele de Gregorio face à la Colombie. Elle dispute ensuite la Coupe du challenge AFC-OFC face à l'Iran avec une équipe peu expérimentée et s'incline sur le score de trois buts à zéro.

Lors de la Coupe d’Océanie 2004 comptant également pour les éliminatoires de la Coupe du monde 2006, les « Kiwis » subissent une contre-performance en étant battus par l'Australie, mais surtout par le Vanuatu sur le score de quatre buts à deux. Ricki Herbert succède alors à Mick Waitt au poste de sélectionneur au départ pour une seule rencontre, celle contre l'Australie, la seule disputée par la sélection en 2005. Sous ses ordres, l'équipe réalise l'année suivante une tournée en Europe qui voit les « All Whites » s'imposer face à la Géorgie sur le score de trois buts à un, leur première victoire sur le sol européen. Malgré cette performance, le faible nombre de rencontres internationales disputées en raison de l'éloignement géographique font chuter la sélection à la 116e place du classement FIFA puis en à la 156e place.

Deuxième qualification à une Coupe du monde (depuis 2009)

Winston Reid, ici en 2010 sous les couleurs de West Ham United, est le premier buteur néo-zélandais de la Coupe du monde 2010.

Après l'adhésion en 2006 de l'Australie à la Confédération asiatique de football, la Nouvelle-Zélande devient le favori de l'OFC, la Confédération océanienne. Les « Kiwis » dominent les éliminatoires de la Coupe du monde de football 2010 couplés à la Coupe d'Océanie 2008. Menés par leur attaquant Shane Smeltz, ils remportent le trophée océanien avec cinq victoires pour une seule défaite. En barrage de qualification pour la Coupe du monde, la sélection affronte le Bahreïn. Après un match nul et vierge au match aller, elle se qualifie avec une victoire un but à zéro au retour en Nouvelle-Zélande. Lors de ce match équilibré, le but décisif est inscrit par Rory Fallon à la 45e minute, le gardien de but Mark Paston détournant un penalty en seconde mi-temps. Championne d'Océanie, la sélection dispute en la Coupe des confédérations. Elle s'incline lors des deux premiers matchs avant de terminer la compétition sur un match nul, zéro partout, face à l'Irak.

Pour préparer la Coupe du monde 2010, les Néo-Zélandais effectuent un stage en Autriche et disputent plusieurs matchs amicaux. Ils s'imposent face à la Serbie, alors 15e au classement FIFA, sur le score d'un but à zéro et réalisent ainsi la meilleure performance de leur histoire d'après leur entraîneur. Lors de la phase finale, l'équipe néo-zélandaise affronte dans le groupe F la Slovaquie, l'Italie et le Paraguay. Elle remporte, pour la première fois de son histoire, un point en Coupe du monde grâce à l'égalisation de son défenseur latéral Winston Reid à la dernière minute du premier match de poule contre la Slovaquie. Le sélectionneur Ricki Herbert déclare après le match : « On était venus avec des intentions et on a su les mettre en application contre une équipe de valeur. C'est un moment à placer au sommet de l'histoire du sport dans le pays. Je suis très heureux. » Les « All Whites » créent la sensation lors de leur deuxième match en obtenant un nouveau match nul, un but partout, avec l'Italie, championne du monde en titre, et obtiennent ainsi leur second point en Coupe du monde. La troisième rencontre oppose la Nouvelle-Zélande au Paraguay et les deux équipes se séparent sur un score de zéro but partout. La Nouvelle-Zélande ne se qualifie pas pour les huitièmes de finale, mais elle quitte la deuxième Coupe du monde de son histoire invaincue et à la troisième place de son groupe, devant les Italiens. Elle est d'ailleurs la seule nation sans défaite de cette phase finale puisque l'Espagne, vainqueur de la compétition, perd son premier match de poule contre la Suisse.

Lors de la Coupe d'Océanie de football 2012, les Néo-Zélandais sont battus par la Nouvelle-Calédonie en demi-finale de la compétition sur le score de deux buts à zéro et terminent troisièmes après une victoire difficile, quatre buts à trois, sur les îles Salomon. Cette défaite est le plus mauvais résultat de la sélection depuis l'arrivée de Ricki Herbert au poste de sélectionneur. Les « Kiwis » se reprennent lors des éliminatoires de la Coupe du monde de football 2014. Ils remportent les six rencontres du groupe et se qualifient ainsi pour le barrage intercontinental disputé contre le Mexique. Les Néo-Zélandais sont éliminés à ce stade de la compétition sur le score de neuf buts à trois sur les deux matchs et Ricki Herbert annonce son départ.